1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
1 France, ils avaient mis à sac Rome et Delphes, et soumis tous les peuples de l’Atlantique à la mer Noire. Ils poussèrent même
2 t prisonnière d’un corps aux appétits terrestres, soumis aux lois de la procréation et de la mort. Mais le Christ est venu par
3 cluses et faux reclus85 ». Ils seront détruits, «  soumis à toute ruine », et tourmentés en enfer. Noble Amour a promis qu’il
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
4 se croit rejetée par Dieu, qu’elle arracha à Job soumis à une semblable épreuve ce cri : « Pourquoi, mon Dieu, m’as-tu fait c
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
5 n confrère Bigorne, lequel ne mange que les maris soumis , est d’un embonpoint sans pareil. Parallèlement à ces deux courants i
6 que Corneille est le premier auteur qui ait voulu soumettre la passion à la raison, sinon à la morale. Il serait donc le premier
7 et retrouve en elle son appui, et que la chair se soumette à l’esprit et retrouve par lui sa paix. Telle est la voie. Éros morte
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
8 conception de l’amour. Les deux domaines restent soumis à des lois tout à fait distinctes, et privées de commune mesure. Il n
9 ionnelles de la lutte. À partir de 1920, on ne se soumettra plus aux « simagrées diplomatiques » de l’ultimatum et de la « déclar