1 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Nouvelles métamorphoses de Tristan
1 ons religieuses, névrotiques ou sentimentales, et soumis par l’intermédiaire d’analyses toujours plus indiscrètes aux règles d
2 ntions ; d’où la critique mordante à laquelle les soumet le héros, parlant pour l’auteur : cette critique fait partie de la ju
2 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Don Juan
3 fuit à peine atteints. Faudra-t-il se résoudre à soumettre le cas aux docteurs indiscrets de l’école viennoise ? Le beau sujet !
3 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Dialectique des mythes I. Méditation au carrefour fabuleux
4 la portée universelle de sa musique et l’auditeur soumis à l’influence dionysiaque, la Tragédie introduit un symbole sublime,
5 ois laïques ou religieuses. Car elle sera bientôt soumise à l’épreuve imprévue de la durée, qui modifie nécessairement l’import
6 cès ou l’échec, la plupart des couples réels sont soumis dans leurs crises à l’action de l’un des deux. La morale et la sociét
4 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — La personne, l’ange et l’absolu ou Le dialogue Occident-Orient
7 s connaissons Dieu. » La création tout entière, «  soumise à la vanité » mais travaillée par « un ardent désir, attend la révéla
5 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
8 la passion de savoir, d’inventer le savoir et d’y soumettre la pensée, poussé jusqu’au dernier degré de l’abstraction et de l’aud