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he à la Menjou et d’une boutonnière fleurie, d’un
sourire
charmeur à la Charles Boyer, l’aimable scepticisme d’un Anatole Franc
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us le bras, et des lunettes bourrues au-dessus du
sourire
de la plus fervente ironie ? Qu’est-ce qu’il grommelle sous son chape
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ils, lorsqu’ils rencontrent une tête nouvelle, ne
sourient
guère. Ils tendent une main précise, accompagnée d’un regard qui jaug
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e bonnes et de mauvaises fortunes, par chance… Le
sourire
large des Américains dissimule leur vraie tragédie : la solitude.