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sait « des complicités étranges pour assembler un
sourire
». Comme Max Jacob il lui arrive de situer une anecdote purement poét
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et qu’on s’ennuie. Si la vie est bête à pleurer,
sourire
est moins fatigant. « Le paon dédaigne encor mais ne fait plus sa rou
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i le prosateur charmant du Pédagogue et l’Amour —
sourit
avec une grâce un peu frileuse et se permet de bâiller en public. On
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nés de ses petits héros. M. Spitz cherche à faire
sourire
, on le sent ; pourtant l’on sourit : il faut bien croire qu’il y a là
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erche à faire sourire, on le sent ; pourtant l’on
sourit
: il faut bien croire qu’il y a là un talent, charmant, glacé, spirit
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que, « d’abord », son livre n’est pas sérieux. Il
sourit
. Vous ajoutez que le lyrisme des noms géographiques vous fatigue ; qu
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cette foule et ces musiques, deux visages amis me
sourient
. Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées
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flets de leur dignité. Mais je n’oublierai pas le
sourire
de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personnellement à l’hom
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ierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai
sourire
, adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » reprend i
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ur un divan, à cause d’un coussin où s’étalait le
sourire
optimiste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond noir. Quelques
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n large front, belle carrure ruisselante, il nous
sourit
, dans l’eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de
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on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète
sourit
en lui-même, il y a une enfance dans l’air… 12. Rappelons que notr