1 ferveur nouvelle, et chaque être un plus prenant sourire . Cependant que ma joie — un état de grâce, un amour — ne pouvait se s

2 est celle qu’on tire de soi-même.) Hypocrisie, ce sourire des sphinx ; hypocrisie, masque ambigu d’une liberté plus précieuse q

3 é froide ? Oui, mais à qui s’adresser. Automne au sourire absent, Or luisant, terreau qui fume… Et tu laisses, ô col roide, En

4 r mensonge tu, Je m’enfuis vers d’autres rêves Où sourient quels anges fous. L’horaire dicte un adieu, La mode qu’on rie des ple

5 et s’approchait en faisant la roue — celle à qui sourit la Fortune. Urbain, fort d’une hérédité judiciaire et française, déda

6 evoir l’image d’un couple heureux et banal, votre sourire répondant au mien, comme on voit au dénouement des films populaires e

7 fourrure. Elle découvre en passant près de lui le sourire d’amitié mortel de tout ce qui n’arrive jamais. Il s’est trompé, ce n

8 de son enfance, une églantine, quelques roses, un sourire qui perce le cœur sur les glaces du passé. Cet abandon aux fuyantes c

9 t vieux, maintenant. » Je songeais justement à un sourire de mon amie quand il voulut m’adresser la parole après un silence ver

10 a parole après un silence vertigineux. Il vit mon sourire et pleura. Alors une rage s’empara de mon corps tout entier, je criai

11   On nous a parfois traités de fous (avec ou sans sourire ). Nous sommes à l’âge de nous en réjouir. On s’est beaucoup étonné de

12 armi les formes de l’ombre C’était l’aube et le sourire adorable de savoir la dansante liberté d’un désir à sa naissance L’

13 suré que l’on est désormais d’être absous avec le sourire par la clientèle des librairies romandes, en mal de cadeaux de Noël o