1 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
1 le finit donc par accepter et vint à nous avec un sourire d’opérette : « Les Messieurs sont vraiment gentils ! » Il n’y avait p
2 al et imposé, avec des femmes qui élargissent des sourires à la mesure exacte de leur générosité. Vos boîtes de nuit sont des so
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
3 pectacle de notre civilisation finissante ! (Vous souriez  ? Vous mourrez avec elle.) Cependant, que de belles personnes — en va
4 mann, adossée au piano, chante un lied du maître, sourit à son plaisir… C’est bouleversant et presque ridicule. Le corps diplo
5 vec des écharpes et du sentiment. (Vu de près, le sourire éperdu des ballerines est émouvant, masque plus vrai que leurs visage
3 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
6 cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient . Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées
7 flets de leur dignité. Mais je n’oublierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personnellement à l’hom
8 ierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire , adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » reprend i
9 ur un divan, à cause d’un coussin où s’étalait le sourire optimiste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond noir. Quelque
10 n large front, belle carrure ruisselante, il nous sourit , dans l’eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de
11 on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… xi Le retour d’Eszter
4 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
12 ité conférée à la vie bourgeoise, qui fait un peu sourire , et qui est si réconfortante. juin 1929 Paracelse et Swedenborg
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
13 page que chez mes burgraves. Les maîtres de lieu sourient un peu de « ceux de W. qui ne boivent que du lait ». Et nous servent