1 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
1 ’est, me dit-il, que le train a déraillé. » Et il sourit longuement, tandis que je perds mon temps à vérifier que tous les wag
2 r à la mer… Subitement, un coup de tampon, un bon sourire  : — Thank you, Sir ! And good luck to you ! C’est fini. Le monde s’ou
2 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
3 et l’éclat des costumes, et la joie rayonnante du sourire des étoiles : c’est leur au-delà ! Les descriptions du Paradis chez D
3 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
4 dépasser l’heure. Mais ces Latins ne rient ni ne sourient à ces petites plaisanteries d’orateur qui amusent si facilement l’Amé
5 à) où il est né en 1847. Nous nous comprenons par sourires , aidés des quelques mots de schwyzer dütsch dont le séjour de Berne m
4 1946, Journal des deux mondes. L’Amérique en guerre
6 i monstrueuse, qu’il s’agisse de l’automobile, du sourire de la Joconde, ou des Variations Goldberg. Les copies seules sont acc
5 1946, Journal des deux mondes. Virginie
7 ache et d’une boutonnière fleurie à la Menjou, un sourire charmeur à la Charles Boyer, l’aimable scepticisme d’un Anatole Franc