1 1947, Vivre en Amérique. Prologue. Sentiment de l’Amérique
1 main, s’en va d’un pas étrangement souple avec un sourire parfait, un pas où l’on pressent déjà la danse, un sourire gentiment
2 arfait, un pas où l’on pressent déjà la danse, un sourire gentiment courageux — vous alliez croire à de l’insouciance — vers un
3 aux chevilles des jeunes femmes ; un peu plus de sourires sans raison échangés avec les passants, les voisins d’autobus ou de t
2 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
4 leurs mélodies toujours si tristes, mais avec un sourire de rêve heureux. Je crois qu’ils sont bien moins conscients que nous.
5 nt de la liberté démocratique. » Cela ne fait pas sourire , quand on voit que c’est vrai. Maladies de la démocratie américain
3 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
6 ec brusquerie, sans desserrer les dents sauf pour sourire un peu, une réputation lucrative : à ses passages en Amérique, entre
7 e journaliste américain. Il avait lu ma lettre et souriait sans mot dire. Je sentis qu’il trouvait que j’avais exagéré. — Au fon
8 z au culte de votre paroisse. » Certes, l’on peut sourire de la publicité qu’étalent les Églises de province, des grands pannea
4 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 ur l’auditoire un regard souriant, appelant votre sourire . Cette pause établit la confiance, et les hésitations bonhommes ménag
10 ils, lorsqu’ils rencontrent une tête nouvelle, ne sourient guère. Ils tendent une main précise, accompagnée d’un regard qui jaug
11 e bonnes et de mauvaises fortunes, par chance… Le sourire large des Américains dissimule leur vraie tragédie : la solitude.
12 emmes vous font sur la foi de quelques romans, du sourire de Boyer, de la moustache de Menjou, et de l’intérêt réel — soit dit