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main, s’en va d’un pas étrangement souple avec un
sourire
parfait, un pas où l’on pressent déjà la danse, un sourire gentiment
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arfait, un pas où l’on pressent déjà la danse, un
sourire
gentiment courageux — vous alliez croire à de l’insouciance — vers un
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aux chevilles des jeunes femmes ; un peu plus de
sourires
sans raison échangés avec les passants, les voisins d’autobus ou de t
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leurs mélodies toujours si tristes, mais avec un
sourire
de rêve heureux. Je crois qu’ils sont bien moins conscients que nous.
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nt de la liberté démocratique. » Cela ne fait pas
sourire
, quand on voit que c’est vrai. Maladies de la démocratie américain
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ec brusquerie, sans desserrer les dents sauf pour
sourire
un peu, une réputation lucrative : à ses passages en Amérique, entre
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e journaliste américain. Il avait lu ma lettre et
souriait
sans mot dire. Je sentis qu’il trouvait que j’avais exagéré. — Au fon
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z au culte de votre paroisse. » Certes, l’on peut
sourire
de la publicité qu’étalent les Églises de province, des grands pannea
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ur l’auditoire un regard souriant, appelant votre
sourire
. Cette pause établit la confiance, et les hésitations bonhommes ménag
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ils, lorsqu’ils rencontrent une tête nouvelle, ne
sourient
guère. Ils tendent une main précise, accompagnée d’un regard qui jaug
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e bonnes et de mauvaises fortunes, par chance… Le
sourire
large des Américains dissimule leur vraie tragédie : la solitude.
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emmes vous font sur la foi de quelques romans, du
sourire
de Boyer, de la moustache de Menjou, et de l’intérêt réel — soit dit