1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
1 page que chez mes burgraves. Les maîtres du lieu sourient un peu de « ceux de Waldburg qui ne boivent que du lait ». Et nous se
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
2 pectacle de notre civilisation finissante ! (Vous souriez  ? Vous mourrez avec elle.) Cependant, que de belles personnes — en va
3 mann, adossée au piano, chante un lied du maître, sourit à son plaisir… C’est bouleversant et presque ridicule. Le corps diplo
4 vec des écharpes et du sentiment. (Vu de près, le sourire éperdu des ballerines est émouvant, masque plus vrai que leurs visage
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
5 cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient . Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées
6 flets de leur dignité. Mais je n’oublierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personnellement à l’hom
7 ierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire , adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » reprend i
8 ur un divan, à cause d’un coussin où s’étalait le sourire optimiste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond noir. Quelques
9 n large front, belle carrure ruisselante, il nous sourit , dans l’eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de
10 on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… Le retour d’Esztergom
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
11 ité conférée à la vie bourgeoise, qui fait un peu sourire , et qui est si réconfortante. 12 juin 1929 Paracelse et Swedenb
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
12 intéresser, et je lui donne la parole. » M. Palut sourit cordialement, et parle : « On a dit ici même que l’Église est contre
13 connaissez beaucoup mieux que moi… » — Le pasteur sourit  : « Vous me faites plaisir, tenez ! Bien sûr, vous avez raison, mon c
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
14 ’est que je suis chômeur moi-même, madame… » Elle sourit à son tour, l’air de dire : « Oh ! vous, ce n’est pas la même chose. 
15 bourgeois, à leurs airs entendus, à leurs vagues sourires , à leurs timidités et aux distances télescopiques que tout cela met e
7 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’Allemagne — Journal (1935-1936)
16 , mais stable. — En somme, vous êtes content ? Il sourit , hausse un peu les épaules, fait oui de la tête. Demain, il doit part
17 sur le seuil un petit homme en brun, tête nue, au sourire extatique. Quarante mille hommes, quarante mille bras se sont levés d
18 eux fixés sur ce point lumineux, sur ce visage au sourire extasié, et des larmes coulent sur les faces, dans l’ombre. Et soudai
19 uissant râle d’une nation possédée par l’Homme au sourire extasié, — lui le pur et le simple, l’ami et le libérateur invincible
20 Certains cercles protestants, ajoute-t-il avec un sourire , paraissent n’avoir point encore remarqué la nature essentielle de l’
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
21 ’est, me dit-il, que le train a déraillé. » Et il sourit longuement, tandis que je perds mon temps à vérifier que tous les wag
22 r à la mer… Subitement, un coup de tampon, un bon sourire Thank you, Sir ! And good luck to you ! C’est fini. Le monde s’ouvre
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
23 et l’éclat des costumes, et la joie rayonnante du sourire des étoiles : c’est leur au-delà ! Les descriptions du Paradis chez D
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
24 dépasser l’heure. Mais ces Latins ne rient ni ne sourient aux petites plaisanteries d’orateur qui amusent si facilement l’Améri
25 à) où il est né en 1847. Nous nous comprenons par sourires , aidés des quelques mots de schwyzer dütsch dont le séjour de Berne m
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
26 ar des centaines de milliers de tendrons. Elle me sourit avec cette grâce à la fois nostalgique et enthousiaste qui est le sec
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — L’Amérique en guerre
27 main, s’en va d’un pas étrangement souple avec un sourire parfait, un pas où l’on pressent déjà la danse, un sourire gentiment
28 arfait, un pas où l’on pressent déjà la danse, un sourire gentiment courageux — vous alliez croire à de l’insouciance — vers un
29 aux chevilles des jeunes femmes ; un peu plus de sourires sans raison échangés avec les passants, les voisins d’autobus ou de t
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
30 ache et d’une boutonnière fleurie à la Menjou, un sourire charmeur à la Charles Boyer, l’aimable scepticisme d’un Anatole Franc
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
31 a craie sur fond rouge, maigre et qui rit, plutôt sourit … Il arrive hier matin, plus ressemblant que jamais. « C’est la Savoie