1 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
1 rrête, au seuil de cette étude, et me dit avec un sourire d’indulgente incrédulité : — « Vous croyez donc au diable ? Auquel ?
2 jouter quelques pincées « pour le bon poids », le sourire de l’acheteur et la satisfaction de votre vertu. C’est là le mensonge
2 1942, La Part du diable (1982). Le diable dans nos Dieux et dans nos maladies
3 stes, réalistes… » Le diable ne répondit rien, il souriait , tout en lisant un bout de papier qu’il venait de ramasser sur le tro
4 , poignée de main franche et assurée, et ce large sourire invitant qui découvre une éclatante dentition ! Comment cette belle h
5 re pire souffrance, son seul baume. Il a cessé de sourire , il est à son affaire, guettant les premiers plis de la panique à vot
6 ore, épargne-moi. Elle se détourna pour cacher le sourire qui tordait ses lèvres, et pour pleurer. Le soir, elle le battit enco
3 1942, La Part du diable (1982). Le Bleu du Ciel
7 de-France, la douceur de l’art et des âges, et le sourire d’une femme à l’amour fidèle et gai. Le bleu du ciel de Manhattan, fu