1 pectacle de notre civilisation finissante ! (Vous souriez  ? Vous mourrez avec elle.) Cependant, que de belles personnes — en va

2 mann, adossée au piano, chante un lied du maître, sourit à son plaisir… C’est bouleversant et presque ridicule. Le corps diplo

3 avec une écharpe et du sentiment. (Vu de près, le sourire éperdu des ballerines est émouvant, masque plus vrai que leurs visage

4 cette foule et ces musiques, deux visages amis me sourient . Ô liberté aérienne des arrivées, premiers regards aux rues croisées

5 flets de leur dignité. Mais je n’oublierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire, adressé personnellement à l’hom

6 ierai pas le sourire de ce vieux prince : un vrai sourire , adressé personnellement à l’homme, — et le mot « affable » reprend i

7 ur un divan, à cause d’un coussin où s’étalait le sourire optimiste de Lord Rothermere, en soie blanche sur fond noir. Quelques

8 n large front, belle carrure ruisselante, il nous sourit , dans l’eau jusqu’à mi-corps, mythologique. Nous sortons ensemble de

9 on l’imagine, tout a de belles couleurs, le poète sourit en lui-même, il y a une enfance dans l’air… Le retour d’Esztergom

10 page que chez mes burgraves. Les maîtres du lieu sourient un peu de « ceux de W. qui ne boivent que du lait ». Et nous servent

11 ité conférée à la vie bourgeoise, qui fait un peu sourire , et qui est si réconfortante. 12 juin 1929 Paracelse et Swedenb

12 y, Dame de l’Aigle et du Lac… Cette aïeule qui me sourit dans sa mantille, retenue d’une main sur la gorge opulente, vint de B