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eur un lecteur qui ignorerait — ce dont vous vous
souvenez
sans doute aussi bien que moi — que la composition et l’esprit du Cah
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? On put le croire vers 1925. C’était, l’on s’en
souvient
, le temps de l’inquiétude. Le désordre des choses s’imposait aux espr
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isère du riche. Un tel titre n’évoque-t-il pas un
souvenir
fameux ? Cette revue jouera-t-elle un rôle comparable à celui des Cah
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s bourgeois un lieu héréditaire, un patrimoine de
souvenirs
, tout ce que symbolise l’expression « à la maison », l’habitation des
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gés culturels !) Il y a du démiurge chez Goethe. (
Souvenons
-nous de son Prométhée). Vit-on jamais pareille faculté d’incorporer l