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enflammé (Genève, 1864). Proudhon s’est peut-être
souvenu
de son passage à Neuchâtel (où il fut un temps typographe) en écrivan
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es ! Temps perdu ! Ça ne se fera jamais ! » Je me
souviens
d’un débat devant le micro en février 1953, au cours duquel un de nos
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suivait un but précis. Il voulait nous laisser le
souvenir
d’avoir une fois au moins dans notre vie accompli quelque chose d’exc
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urse, du but lointain… Aujourd’hui, repassant ces
souvenirs
, je me laisse aller à comparer notre première étape à la Jeunesse. Ca
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ase d’une montagne en forme de lion couché. Je me
souviens
de l’élasticité du sol un peu glissant sous nos semelles cloutées, et
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me rappelle, qui s’exagèrent sans doute dans mon
souvenir
visuel, ajoutés à des verts bien drus, des jaunes blonds et certains
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e moment-là une complexe synthèse instantanée des
souvenirs
de mes deux rencontres avec l’auteur d’Anglais, français, Espagnols e
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ns ce meeting de la salle Pleyel fasse écho à mes
souvenirs
de celui du Trocadéro, mais dans un registre plus grave : le combatif
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ires institués par Napoléon pour effacer jusqu’au
souvenir
des autonomies régionales, voilà qui nous donne à penser que la révol
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à La Haye le « Congrès de l’Europe ». Quel est le
souvenir
le plus marquant que vous conservez de cette grande manifestation eur
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ires institués par Napoléon pour effacer jusqu’au
souvenir
des autonomies régionales, voilà qui nous donne à penser que la révol
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e extrême affectivité, irritabilité, résultant du
souvenir
de tant de guerres récentes, de cent ans de propagande des nationalis
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À 41 ans et à 38 ans, on a généralement quelques
souvenirs
, quelques cheveux blancs et des enfants du premier lit : ça pose des
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noms français, son ambassade du Roy de France, le
souvenir
de Besenval et celui de Casanova, Soleure qu’un pasteur indigné décri
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Un
souvenir
de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)w La lecture après pl
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(1969)w La lecture après plus d’un siècle d’Un
Souvenir
de Solférino a quelque chose de bien déconcertant pour nos habitudes
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intitulé (non sans une provocante simplicité) Un
Souvenir
de Solférino, son résultat fut la Croix-Rouge. Ce très curieux récit
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fer de Castiglione, il se décide à rassembler ses
souvenirs
, trois ans plus tard, et il se borne à suggérer, dans une note, que s
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lférino, un an après la parution hors commerce du
Souvenir
, la Croix-Rouge est fondée à Genève. Et certes, il n’eût pas pu la fo
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ier Comité. Reste que rien n’eût été fait sans le
Souvenir
, ni sans l’impulsion créatrice de son auteur. ⁂ Le personnage est peu
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. » ⁂ J’ai dit qu’on chercherait en vain, dans un
Souvenir
, la moindre note d’antimilitarisme, et rien n’est dit non plus contre
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horreurs » ?) J’avoue qu’à ma première lecture du
Souvenir
, j’avais achoppé sur ce point. Mais la mise au jour des cahiers de He
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er à lui-même, alors qu’il écrivait le début d’Un
Souvenir
. Son vrai discours contre la guerre et le militarisme qui la prépare,
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rque la transition entre l’attitude initiale d’Un
Souvenir
et finale des cahiers de Heiden. La « modestie du but » auquel Dunant
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e la chrétienté. Nous voilà loin des clichés d’Un
Souvenir
et de ses prudences tactiques. Serait-ce que Dunant, écarté de l’acti
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tie responsables de sa faillite. w. Préface à Un
souvenir
de Solférino d’Henry Dunant, Lausanne, L’Âge d’Homme, 1969, p. VII-XX