1 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
1 ois. C’est l’image du chat d’Alice in Wonderland. Souvenez -vous de ce Chat, immense et subversif, dont le rire a le don d’exaspé
2 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Franz Kafka, ou l’aveu de la réalité
2 l’interprétation. Mais si l’on n’en retient qu’un souvenir global, cette inoubliable atmosphère de cauchemar poursuivi dans la v
3 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
3 au Paradis perdu. Il faut citer ici une page des Souvenirs sur Stravinsky qui me paraît d’une importance extrême, non seulement
4 1944, Les Personnes du drame. Une maladie de la personne — Le romantisme allemand
4 tiques les plus diverses, d’où naît-il, dans quel souvenir d’une patrie heureuse et perdue ? On aura bientôt fait de répondre en
5 i cruelle et intime que sa conscience en évite le souvenir (ou le refoule comme dira Freud), de telle manière que la cause secrè
6 arche se rechercher lui-même dans la série de ses souvenirs . Il sentait que l’existence n’a d’appui ferme que dans la chaîne inin
7 ’appui ferme que dans la chaîne ininterrompue des souvenirs .90 » Mais, comme le note Albert Béguin, Moritz à cet endroit « tourne
8 saisir la pensée salvatrice. » C’est qu’il est un souvenir interdit, trop douloureux pour être revécu. Le moi malade échoue à se
9 éclats fugitifs ou « illuminations », pareils aux souvenirs d’un rêve qui s’efface. Cela dont ils voulaient parler, cet Indicible