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e communauté économique ? Qu’une alliance d’États
souverains
? Ne doit-elle pas être au contraire, l’ensemble des Européens, de le
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, une Europe confédérée. Une Europe indépendante,
souveraine
et dénucléarisée : une défense européenne basée sur la responsabilité
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orité ecclésiastique. Dans le même temps, l’Ordre
souverain
de Malte est divisé en nations sous le nom de langues. On retrouve ce
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vient de marquer l’avènement de l’ère des nations
souveraines
et rivales succédant à l’ère de la christianitas, seul nom usuel, jus
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emps déterminé. Le citoyen est « franc sujet » du
souverain
, seule « source de toute autorité ». Ses droits ne sont que « privilè
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privilèges » et révocables à tout instant par le
souverain
, lequel n’est pas obligé par la loi70, acte unilatéral et non contrat
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le ou la plupart d’iceluy en corps a la puissance
souveraine
; l’aristocratie quand la moindre partie a la souveraineté en corps,
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umanisée par rien au monde contre l’arbitraire du
souverain
: orgueil ou folie d’un monarque, ignorance populaire, égoïsme d’un c
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étaires, ou même de son conseil. Dès 1793, l’État
souverain
(Comité provisoire, Comité de salut public, etc. jusqu’aux conseils d
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ctuel de division de l’Europe en 30 États-nations
souverains
qui, pour mieux affirmer leur souveraineté, refusent de se fédérer à
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nt pas l’idée. » (p. 216) « Quand on disait alors
souverain
, on entendait simplement supérieur : c’est le sens étymologique. » Su
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Oyseau, Traicté des Seigneuries, 1609). Le prince
souverain
doit être fidèle à sa mission divine : « Il n’est libre ni quant à la
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ineté du peuple » (p. 235) car « le peuple devenu
souverain
, il est contradictoire qu’il se lie lui-même. » (p. 234) Survient l’â
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et même terroriste. Ce jacobinisme a émancipé le
Souverain
, en renversant l’empire antérieur de la Loy. Liberté pour le Souverai
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ant l’empire antérieur de la Loy. Liberté pour le
Souverain
, c’est la devise du xviiie siècle. Cette liberté consiste pour le So
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du xviiie siècle. Cette liberté consiste pour le
Souverain
à n’être plus tenu par des règles ; désormais il formule les règles à
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mble des citoyens. » Si le peuple est ici déclaré
souverain
, c’est l’État qui dispose du pouvoir par la police et par l’argent. E
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Régime la plénitude de puissance de la volonté du
souverain
. En devenant l’attribut de la « Nation », en réalité : de l’État — co
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ore : « Ou bien la nation française existe une et
souveraine
, ou bien elle n’est plus » (Lettre ouverte aux Français pour la conqu
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à la moulinette de commissions nationales aussi «
souveraines
» que leurs fonctionnaires sont anonymes — la Conférence des ministre