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une vocation. L’individu arraché du commun par un
souverain
caprice de la Minne, aussitôt ne s’appartient plus. À peine libéré, l
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a plus rien à faire au monde ». Chacune se dira «
souveraine
», à l’imitation des rois absolus qui n’avaient de comptes à rendre q
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me pur, opérant loin des hommes par une extension
souveraine
de leurs pouvoirs sur la matière et la Nature. Elle passa presque ina
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ranoïaque. « Toute collectivité régie par un chef
souverain
qui n’est comptable à personne se trouve entre les mains d’un malade
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itions politiques ? Sachez, monsieur, que je suis
souverain
. Je vous refuse le droit de vous mêler de mes affaires B. Je croyais
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impuissante en fait contre l’Égypte. Si vous êtes
souverains
, tirez donc ! Et n’allez pas demander partout des permissions. Mais s
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Europe, pour l’ensemble de nos nations soi-disant
souveraines
, et fragilement alliées plutôt qu’unies. J’avais énuméré quatre de ce
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mort pour toute une civilisation, n’intéresse le
Souverain
moyen que si quelque anecdote rend la question « concrète » : on veut
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teinte à la perspicacité parce qu’il est vraiment
souverain
. Peut-être faut-il reconnaître à ce seul philosophe le privilège d’av
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s, et de traités économiques entre pays prétendus
souverains
. C’est la formule d’une Sainte-Alliance des monarques, transposée au
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tive pour prolonger le statut des nations dites «
souveraines
», mais qui ne le sont plus qu’au niveau des discours, cette Europe m
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isse a résolu, avec ses vingt-cinq petits cantons
souverains
. La différence des superficies était certes importante au temps des d
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ions clés telles que « transférer certains droits
souverains
des nations pour les exercer en commun », ou « créer une citoyenneté
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jamais sur la base « réaliste » des États-nations
souverains
, formule oppressive, négative, quoiqu’aussi coriace que désuète. Elle