1 1955, Preuves, articles (1951–1968). Le Château aventureux : passion, révolution, nation (mai 1955)
1 une vocation. L’individu arraché du commun par un souverain caprice de la Minne, aussitôt ne s’appartient plus. À peine libéré, l
2 a plus rien à faire au monde ». Chacune se dira «  souveraine  », à l’imitation des rois absolus qui n’avaient de comptes à rendre q
2 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
3 me pur, opérant loin des hommes par une extension souveraine de leurs pouvoirs sur la matière et la Nature. Elle passa presque ina
3 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
4 ranoïaque. « Toute collectivité régie par un chef souverain qui n’est comptable à personne se trouve entre les mains d’un malade 
4 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur Suez et ses environs historiques (octobre 1956)
5 itions politiques ? Sachez, monsieur, que je suis souverain . Je vous refuse le droit de vous mêler de mes affaires B. Je croyais
5 1956, Preuves, articles (1951–1968). Sur l’Europe à faire (novembre 1956)
6 impuissante en fait contre l’Égypte. Si vous êtes souverains , tirez donc ! Et n’allez pas demander partout des permissions. Mais s
6 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur la neutralité européenne (II) (avril 1957)
7 Europe, pour l’ensemble de nos nations soi-disant souveraines , et fragilement alliées plutôt qu’unies. J’avais énuméré quatre de ce
7 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur un centre qui doit être partout (mai 1958)
8 mort pour toute une civilisation, n’intéresse le Souverain moyen que si quelque anecdote rend la question « concrète » : on veut
8 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
9 teinte à la perspicacité parce qu’il est vraiment souverain . Peut-être faut-il reconnaître à ce seul philosophe le privilège d’av
9 1964, Preuves, articles (1951–1968). Un district fédéral pour l’Europe (août 1964)
10 s, et de traités économiques entre pays prétendus souverains . C’est la formule d’une Sainte-Alliance des monarques, transposée au
11 tive pour prolonger le statut des nations dites «  souveraines  », mais qui ne le sont plus qu’au niveau des discours, cette Europe m
12 isse a résolu, avec ses vingt-cinq petits cantons souverains . La différence des superficies était certes importante au temps des d
10 1968, Preuves, articles (1951–1968). Vingt ans après, ou la campagne des congrès (1947-1949) (octobre 1968)
13 ions clés telles que « transférer certains droits souverains des nations pour les exercer en commun », ou « créer une citoyenneté
14 jamais sur la base « réaliste » des États-nations souverains , formule oppressive, négative, quoiqu’aussi coriace que désuète. Elle