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, la Confédération se composait de treize cantons
souverains
, flanqués de nombreux alliés, villes libres, abbayes, vallées et pays
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comme elle l’était alors, divisée en petits États
souverains
différents à la fois par la langue, par la religion et par le mode de
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ée comme de pouvoir central — les États restaient
souverains
—, livrée aux intrigues des agents français qui excitaient le peuple
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population actuelle. Avec ses vingt-cinq États «
souverains
», ses quatre langues, ses deux confessions, ses climats contrastés,
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ifice fédéral. Les cantons suisses sont des États
souverains
« dans la mesure où leur souveraineté n’est pas limitée par la Consti
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s un enchevêtrement d’alliances entre républiques
souveraines
, dont plusieurs gouvernaient des « pays sujets » et des bailliages. L
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ut de nouveau qu’une alliance conclue entre États
souverains
. Un lien si lâche n’était qu’une faible garantie pour l’indépendance
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ressemblait à l’Europe d’aujourd’hui. Les cantons
souverains
étaient les maîtres incontestés de leur politique économique. On comp
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e qui frappe une Diète formée de délégués d’États
souverains
et non de députés des peuples : Lequel de nous n’a dû souvent déplor
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e que les États, sans rien perdre de leurs droits
souverains
en matière d’enseignement, sont au contraire mis en mesure de les mie