1 1953, La Confédération helvétique. Le peuple et son histoire
1 , la Confédération se composait de treize cantons souverains , flanqués de nombreux alliés, villes libres, abbayes, vallées et pays
2 comme elle l’était alors, divisée en petits États souverains différents à la fois par la langue, par la religion et par le mode de
3 ée comme de pouvoir central — les États restaient souverains —, livrée aux intrigues des agents français qui excitaient le peuple
4 population actuelle. Avec ses vingt-cinq États «  souverains  », ses quatre langues, ses deux confessions, ses climats contrastés,
2 1953, La Confédération helvétique. Les institutions politiques
5 ifice fédéral. Les cantons suisses sont des États souverains « dans la mesure où leur souveraineté n’est pas limitée par la Consti
6 s un enchevêtrement d’alliances entre républiques souveraines , dont plusieurs gouvernaient des « pays sujets » et des bailliages. L
7 ut de nouveau qu’une alliance conclue entre États souverains . Un lien si lâche n’était qu’une faible garantie pour l’indépendance
8 ressemblait à l’Europe d’aujourd’hui. Les cantons souverains étaient les maîtres incontestés de leur politique économique. On comp
9 e qui frappe une Diète formée de délégués d’États souverains et non de députés des peuples : Lequel de nous n’a dû souvent déplor
3 1953, La Confédération helvétique. La famille et l’éducation
10 e que les États, sans rien perdre de leurs droits souverains en matière d’enseignement, sont au contraire mis en mesure de les mie