1 1962, Les Chances de l’Europe. III. L’Europe s’unit
1 l’ère absolutiste, ère de la formation des États souverains , du xvie au xviiie siècle. Enfin, la prospérité générale qu’il faut
2 Nations, dès lors qu’ils se déclarent absolument souverains , et ne reconnaissent donc plus l’autorité commune supérieure à leurs
3 es, et qui nous ramènerait à une Europe des États souverains , alliance paradoxale en son principe, et dont on peut craindre qu’ell
4 ples, par le véritable arbitrage d’un grand sénat souverain qui sera à l’Europe ce que le parlement est à l’Angleterre, ce que la
5 gine l’existence sur ce continent de trente États souverains . Il importe de remédier à cette anarchie par la création d’une Union
6 par la fédération, jugulant l’anarchie des États souverains  ; la prospérité par une économie à la fois libérée et organisée ; et
2 1962, Les Chances de l’Europe. IV. Les nouvelles chances de l’Europe
7 ue fois qu’il s’agit de justifier la politique du souverain ou du parti au pouvoir56 ; à quoi s’ajoute 50 % du marxisme plus ou m
8 communautaires, et la mise en commun des droits «  souverains  » qu’aucun de nos pays n’est plus en mesure d’exercer à lui seul, dan
3 1962, Les Chances de l’Europe. Appendice : Sartre contre l’Europe
9 termine en 1960 par la création d’une république souveraine et démocratique de plus de 2 millions d’habitants, dont le président