1
la vérité : celle-ci subsiste en Dieu, intacte et
souveraine
. Tandis que si l’homme athée choisit mal, alors tout est faux, sans r
2
ue notre Occident lui-même a défini comme le bien
souverain
: l’harmonie dans le dynamisme, le sens général de la vie. Si l’on ad
3
plus excellente et plus sainte, que celle dont ce
souverain
Monarque de l’univers est l’auteur… Quelle forme de gouvernement peut
4
nsformer autour de lui ce qui s’oppose à son bien
souverain
. S’il est chrétien, il sait qu’il est membre d’un corps qui porte tou
5
ère lui de modèle accompli, ni en lui de Présence
souveraine
, il se sent libre d’appliquer les moyens qu’il juge adéquats aux inté
6
’État cesse d’être un vrai État dès qu’il se veut
souverain
absolu, l’homme cesse d’être un homme intégral dès qu’il absolutise s
7
s et ruinée par sa division en vingt-cinq États «
souverains
» — incapables d’ailleurs de prouver qu’ils le sont — se voyait promi