1
fjords, présente un intérêt particulier pour les
souverains
qui tiennent à garder libre de toute intervention des seigneurs locau
2
e dernier de ces trois États, principauté dont le
souverain
est le roi de Prusse, ne deviendra-t-il tout à fait « suisse » qu’apr
3
adre de ces traités, et ces troupes servaient les
souverains
, mais sous les ordres de leurs propres officiers, les régiments porta
4
ents portant le nom de leur colonel. Les premiers
souverains
alliés furent les rois de France. Le régiment Pfyffer, recruté à Luce
5
r de nouvelles capitulations militaires avec huit
souverains
, mais le noyau d’une armée fédérale est créé : chaque canton doit fou
6
de noblesse « suisse », créée ou confirmée par un
souverain
autochtone. Faute d’un tel souverain, tous les titres portés par des
7
irmée par un souverain autochtone. Faute d’un tel
souverain
, tous les titres portés par des familles actuellement suisses ont été
8
égiale. Les Orléans-Longueville qui en furent les
souverains
dès 1529, s’étant éteints en 1707, quinze prétendants à la succession
9
ement curieusement compliqué de ce minuscule pays
souverain
, le Conseil d’État formait l’exécutif. Ses membres étaient choisis da
10
e, de celui qu’on appelle toujours en Suisse « le
souverain
», voilà bien le seul exemple, depuis la Grèce antique, d’une démocra
11
lu sans retour du nombre des éligibles au Conseil
souverain
». C’est sans doute à ces mesures contre la noblesse prises par le pa
12
n, selon les allégeances qui les rattachaient aux
souverains
dont elles tenaient leurs titres et parfois leur fortune. 33. Mon in
13
y survit à la dislocation de l’Empire en nations
souveraines
n’admettant plus aucune instance supérieure. À cet égard, en théorie
14
37. Rien ne pouvait mieux servir les intérêts des
souverains
qui levaient des troupes dans les cantons. La Révolution française et
15
système d’alliances « confédérales » entre États
souverains
, sans pouvoir supérieur ; 2° Qu’il a fallu exactement neuf mois, au l
16
isse à l’agresseur. L’un après l’autre, les États
souverains
furent soumis et pillés, deux d’entre eux annexés par la France, et t
17
sances du lien « confédéral » (alliance des États
souverains
) se révélèrent en premier lieu et sous les formes les plus criantes.
18
15, à l’Europe d’aujourd’hui. Les cantons étaient
souverains
, maîtres incontestés de leur politique économique. On comptait alors
19
la Suisse unie, celle qui s’en tient aux cantons
souverains
— sont transposables terme à terme dans la conjoncture d’aujourd’hui
20
le stade de la simple « confédération »54 d’États
souverains
. La « transaction » intervenue est en réalité un optimum difficilemen
21
Article 1er. — Les peuples des vingt-deux cantons
souverains
de la Suisse, unis par la présente alliance [suit l’énumération des É
22
fédération suisse. Article 3. — Les cantons sont
souverains
en tant que leur souveraineté n’est pas limitée par la constitution f
23
publique fédérative au lieu d’une réunion d’États
souverains
… Avec une position géographique, des mœurs, des antécédents, une lang
24
éclarant neutres. Et Neuchâtel enfin, principauté
souveraine
, fut un État dès le haut Moyen Âge, lentement élargi aux frontières a
25
ommunes, les cités, les ligues et les républiques
souveraines
portaient en allemand le nom générique de Ort (littéralement : lieu o
26
les cantons, en droit public ? Ce sont les États
souverains
« dans la mesure où leur souveraineté n’est pas limitée par la Consti
27
est demandé, la décision finale sera prise par le
souverain
, c’est-à-dire par la double majorité des voix populaires et des canto
28
acceptée cette fois-ci sans opposition — car le «
souverain
» se lasse plus vite que les bureaux.) Quoique un peu simplifié et st
29
nne partie l’opinion du législatif, et quant au «
souverain
», nouveau roi fainéant, il n’aime pas qu’on le dérange trop souvent
30
dit, les gens bien, gracieusement mêlés au peuple
souverain
de la région, dans cette égalité scolaire que créent en Suisse les ba
31
t du service militaire, les assemblées populaires
souveraines
apparaissent à certains historiens modernes comme des survivances du
32
s, et de traités économiques entre pays prétendus
souverains
. C’est la formule d’une Sainte-Alliance des monarques, transposée au
33
tive pour prolonger le statut des nations dites «
souveraines
», mais qui ne le sont plus qu’au niveau des discours, cette Europe m
34
ue la Suisse a résolu, avec ses 25 petits cantons
souverains
. La différence des superficies était certes importante au temps des d
35
nt pas leur place ; les Habsbourg ont été de bons
souverains
et de grands mainteneurs de l’ordre dans l’Empire ; une révolte contr