1 reusement inopérante tant que les États resteront souverains . Car c’est la protection des droits de la personne et des droits des

2 ntestable que la volonté commune à tous nos États souverains de « développer la conscience nationale » par le moyen de l’école pri

3 ies par le nationalisme et par le dogme de l’État souverain . Nos garanties de liberté sont donc dans une large mesure, négatives.

4 s commerciaux longuement marchandés entre États «  souverains  ». Ce sera aussi la meilleure occasion de leur faire sentir, dans le

5 ux confessions religieuses, et vingt-cinq États «  souverains  » mais très étroitement fédérés. Votre situation de Libanais est peut

6 air — il devrait être clair — qu’en tant qu’États souverains les nations ne seront jamais prêtes à s’unir ! Europa : Il fut un te

7 la Suisse, en 1848, à partir de 25 États-cantons souverains . Il s’agit là d’un fédéralisme interétatique dépassé et qui ne peut p

8 es et inefficaces d’alliances entre États-nations souverains qui n’admettent aucun droit supérieur à ce qu’ils décrètent leur inté