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seulement des ressortissants de vingt-deux États
souverains
nommés cantons ; il n’y a pas de Français, mais des Bretons, des Basq
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cs. En réalité, c’est contre l’anarchie des États
souverains
, alors naissants, qu’il voulait prémunir le peuple européen. Les même
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gine l’existence sur ce continent de trente États
souverains
. Il importe de remédier à cette anarchie par la création d’une Union
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par la fédération, jugulant l’anarchie des États
souverains
; — la prospérité par une économie à la fois libérée et organisée ; —
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que moderne, de la nation étatisée qui se prétend
souveraine
absolument (ses chefs ont le droit de faire massacrer des millions d’
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risant et prévoyant la cession de certains droits
souverains
à un futur pouvoir européen avait été introduite dans les constitutio
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n dire plus ? Sur les quelque cent-trente nations
souveraines
qui divisent notre humanité, je ne compte guère que deux douzaines d’
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s l’unir non plus par la concertation des États «
souverains
». Il faut faire l’Europe sérieusement, mais dans le respect des diff
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isme interne comme visant à la division de l’État
souverain
, mais chose curieuse, cela ne l’empêche nullement de condamner le féd
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donc, une France non absolument et non totalement
souveraine
n’était plus la France. La seule évocation d’une atteinte possible à
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encore, au début de 1848, des États parfaitement
souverains
. Tout le monde admettait, à ce moment-là, que les alliances qui exist
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i existaient depuis des siècles entre les cantons
souverains
étaient trop lâches : elles ne permettaient pas une défense commune e
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Article 1. — Les peuples des vingt-deux cantons
souverains
de la Suisse, unis par la présente alliance… forment dans leur ensemb
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fédération suisse. Article 3. — Les cantons sont
souverains
en tant que leur souveraineté n’est pas limitée par la Constitution f
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irréductiblement, de tout leur être de nations «
souveraines
»28 ? Quand on nous affirme que le xxe siècle ne sera pas celui du
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qui l’un après l’autre se déclareront eux aussi «
souverains
absolus », superiorem in terris non recognoscentes, selon la formule
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is, c’est-à-dire d’environ cent-trente pays (plus
souverains
les uns que les autres) confrontés aux trois seuls vrais Grands. Ils
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dépassement de l’ère des États-nations prétendus
souverains
, unitaires au-dedans, diviseurs au-dehors, refusant à la fois l’auton
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votre utopie ! » « On ne peut passer des nations
souveraines
aux régions fédérées sans transition, et cela prendra des décennies !
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vers l’union politique à partir des États-nations
souverains
étant demeurée nulle depuis un quart de siècle, il serait difficile d
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t même territoire, sur lequel cet État se déclare
souverain
. — Cette superposition forcée de réalités radicalement hétérogènes co
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anton (qui fut durant des siècles une principauté
souveraine
) va donc mon allégeance patriotique. Neuchâtel fait partie de la fédé
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il les serve, au lieu de prétendre à les régir en
souverain
. Je demande la division du phénomène État en autant de foyers, et sa
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era de prétendre à l’exercer pour eux, quand « le
souverain
» sera de nouveau le peuple, comme le voulait Rousseau, et comme on l