1 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
1 de la Troisième République, de l’Amérique et des Soviets . Nous croyons ici que la dignité de l’homme consiste à mettre en jeu
2 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
2 ains du bureau d’un parti, d’un dictateur ou d’un soviet . Cela n’est pas invraisemblable : abdiquer toute espèce de conscience
3 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
3 nt injuste et ridicule de reprocher au régime des Soviets certaines erreurs d’ordre métaphysique, qui leur paraissent sans grav
4 congrès d’écrivains soviétiques ou favorables aux Soviets . De toutes les confusions sentimentales ou idéologiques, généreuses o
5 ) au Plan est même si radicale, si naïve, que les Soviets en sont venus à confondre sans l’ombre d’un doute « culture » et « pr
6 dialecticiens »56. Les écrivains délégués par les Soviets au congrès de Paris pour la défense de la culture, en 1935, citèrent
7 construction : la mesure pseudo-marxiste que les Soviets proposent en exemple s’est avérée, après quelques années, incapable d
8 uvons créer. Nous ne sommes pas en retard sur les Soviets ou sur l’Allemagne, tout au contraire. Mais si nous ne marquons pas n
4 1936, Esprit, articles (1932–1962). André Gide, Retour de l’URSS (décembre 1936)
9 n homme, non plus celle des prolétaires unis, des Soviets . » — Internationalisme ? « L’important, ici, c’est de persuader aux g
5 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
10 e, il fut proprement balayé durant la période des Soviets . La morale des intellectuels nihilistes ou romantiques, qui inspirait
6 1946, Esprit, articles (1932–1962). Épilogue (novembre 1946)
11 ectacle de la mauvaise volonté internationale des Soviets , de cette brutalité vis-à-vis de leurs sujets, de ce mépris de la vie