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de la Troisième République, de l’Amérique et des
Soviets
. Nous croyons ici que la dignité de l’homme consiste à mettre en jeu
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ains du bureau d’un parti, d’un dictateur ou d’un
soviet
. Cela n’est pas invraisemblable : abdiquer toute espèce de conscience
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nt injuste et ridicule de reprocher au régime des
Soviets
certaines erreurs d’ordre métaphysique, qui leur paraissent sans grav
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congrès d’écrivains soviétiques ou favorables aux
Soviets
. De toutes les confusions sentimentales ou idéologiques, généreuses o
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) au Plan est même si radicale, si naïve, que les
Soviets
en sont venus à confondre sans l’ombre d’un doute « culture » et « pr
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dialecticiens »56. Les écrivains délégués par les
Soviets
au congrès de Paris pour la défense de la culture, en 1935, citèrent
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construction : la mesure pseudo-marxiste que les
Soviets
proposent en exemple s’est avérée, après quelques années, incapable d
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uvons créer. Nous ne sommes pas en retard sur les
Soviets
ou sur l’Allemagne, tout au contraire. Mais si nous ne marquons pas n
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n homme, non plus celle des prolétaires unis, des
Soviets
. » — Internationalisme ? « L’important, ici, c’est de persuader aux g
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e, il fut proprement balayé durant la période des
Soviets
. La morale des intellectuels nihilistes ou romantiques, qui inspirait
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ectacle de la mauvaise volonté internationale des
Soviets
, de cette brutalité vis-à-vis de leurs sujets, de ce mépris de la vie