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férence met en lumière l’avantage appréciable des
Soviets
sur Attila. Ensuite, le christianisme ne trouvait devant lui qu’une r
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point Vive la France ! — pas davantage que « les
Soviets
partout ! » ne signifiera sous Lénine : Vive la Russie ! Il proclame
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ement l’époque : l’Europe unie ou le triomphe des
Soviets
. Fallait-il être avec les communistes ou non ? C’était le vrai fond d
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ait le vrai fond de leur débat. Cependant que les
Soviets
axaient leur politique sur l’Europe qu’ils voulaient empêcher de s’un
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hémence suspecte — par tous ceux qui admirent les
Soviets
. Or déjà ces derniers ont rétabli l’usage, sur une base « scientifiqu
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tiviste, et la praxis pas plus que la theoria des
Soviets
ne conduisant là, alors l’URSS apparaît, objectivement parlant, comme
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américain croit mieux au sien, mais le mythe des
Soviets
est mieux cru hors de l’URSS. Du point de vue de la personne enfin :
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chniques (taylorisme ou psychanalyse), ce que les
Soviets
ont fait de la croyance en l’Histoire, et ce que les peuples de l’Ori
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ristianisme ? Du point de vue de la tactique, les
Soviets
jouent gagnant. Car au moment précis où le christianisme a renoncé à