1 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — La spire et l’axe
1 férence met en lumière l’avantage appréciable des Soviets sur Attila. Ensuite, le christianisme ne trouvait devant lui qu’une r
2 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Le Château aventureux
2 point Vive la France ! — pas davantage que « les Soviets partout ! » ne signifiera sous Lénine : Vive la Russie ! Il proclame
3 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’expérience du temps historique
3 ement l’époque : l’Europe unie ou le triomphe des Soviets . Fallait-il être avec les communistes ou non ? C’était le vrai fond d
4 ait le vrai fond de leur débat. Cependant que les Soviets axaient leur politique sur l’Europe qu’ils voulaient empêcher de s’un
4 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Les ambivalences du progrès
5 hémence suspecte — par tous ceux qui admirent les Soviets . Or déjà ces derniers ont rétabli l’usage, sur une base « scientifiqu
6 tiviste, et la praxis pas plus que la theoria des Soviets ne conduisant là, alors l’URSS apparaît, objectivement parlant, comme
7 américain croit mieux au sien, mais le mythe des Soviets est mieux cru hors de l’URSS. Du point de vue de la personne enfin :
8 chniques (taylorisme ou psychanalyse), ce que les Soviets ont fait de la croyance en l’Histoire, et ce que les peuples de l’Ori
5 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Le drame occidental
9 ristianisme ? Du point de vue de la tactique, les Soviets jouent gagnant. Car au moment précis où le christianisme a renoncé à