1 reproche de ne recourir jamais qu’à des épithètes stéréotypées  ? Jaufré Rudel, prince de Blaye, dit très nettement que sa Dame est u

2 x troubadours par nos érudits — reproche lui-même stéréotypé … 58. Mais catholique d’origine, non hérétique. 59. Remarquons que c

3 le, ce n’était plus que galanterie mais froide et stéréotypée . Dante et Cavalcanti, d’autres encore, demandent plus de sincérité et

4 eproche de ne recourir jamais, qu’à des épithètes stéréotypées  ? Jaufré Rudel, prince de Blaye, dit très nettement que sa Dame est u

5 x troubadours par nos érudits — reproche lui-même stéréotypé … 60. Mais catholique d’origine, non hérétique. 61. Faudrait-il rapp

6 le, ce n’était plus que galanterie mais froide et stéréotypée . Dante et Cavalcanti, d’autres encore, demandaient plus de sincérité

7 reproche de ne recourir jamais qu’à des épithètes stéréotypées  ? Jaufré Rudel, prince de Blaye, dit très nettement que sa Dame est u

8 x troubadours par nos érudits — reproche lui-même stéréotypé … 53. Mais catholique d’origine, non hérétique. 54. Faudrait-il rapp

9 le, ce n’était plus que galanterie mais froide et stéréotypée . Dante et Cavalcanti, d’autres encore, demandaient plus de sincérité

10 avaient encore coutume de débuter par des phrases stéréotypées  : « Par une belle matinée de novembre, un voyageur vêtu d’un macfarla

11 e plus en plus fades jusque dans leurs brutalités stéréotypées , voilà les films américains au lendemain de la guerre. Les critiques,

12 e plus en plus fades jusque dans leurs brutalités stéréotypées , voilà les films américains au lendemain de la guerre. Les critiques,