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es politiques de chantage collectif, traduites en
style
californien ou sicilien, palestinien ou irlandais, par des mouvements
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ur coutume : c’est qu’ils ont reconnu leur propre
style
et savent trop bien à quoi s’attendre. Pour vous donner un exemple p
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s la moindre émotion dans la voix, le geste ou le
style
, et parfois même avec un je ne sais quoi de complaisant dans la résig
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l’œuvre de Ramuz, celui de l’exaspération de son
style
le plus volontaire. Ramuz avait débuté vers 1900 par des romans natur
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son séjour à Paris, il s’était patiemment fait un
style
où réalisme et poésie se mêlaient indistinctement. Seul, ignoré ou dé
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Ramuz quand il écrit. Notons aussi l’influence du
style
biblique, si fortement inculqué à ce peuple. Par une lacune étrange,
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urd’hui de l’École de Paris, désignant par là des
styles
ou des modes, mais comme s’il s’agissait d’entités permanentes délimi
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hique, le classique, le baroque et le rococo, les
styles
romantiques puis bourgeois (Louis-Philippe, Biedermeyer), le modern s
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re européenne qui avait été jusqu’alors celle des
styles
et de leur déploiement dans le temps et l’espace du continent. On par
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le ton de fronde qu’André Breton adaptera dans un
style
noble aux manifestes du surréalisme, exaltant tour à tour Marx et Fre
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de « faire passer ». Dès 1968 à Paris, ce nouveau
style
trouve ses lois : la philosophie gestuelle de l’étudiant Cohn-Bendit
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e romanesque de Pourtalès, pour la densité de son
style
et les élans d’une sensualité pure et toujours sensible, alors bien r
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mplement par l’attrait d’un gag-sans-rire dans le
style
de Buster Keaton. Cette espèce de réserve polie jusque dans l’outrage