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e pauvreté idéologique et morale qu’il révèle. Le
style
brillant et elliptique qui tend à devenir notre poncif moderne, — si
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il a réussi ce grand roman… Qu’y manque-t-il ? Un
style
? L’absence de style, n’est-ce pas le meilleur style pour un romancie
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roman… Qu’y manque-t-il ? Un style ? L’absence de
style
, n’est-ce pas le meilleur style pour un romancier ? C’est plutôt, je
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le ? L’absence de style, n’est-ce pas le meilleur
style
pour un romancier ? C’est plutôt, je crois, une certaine harmonie gén
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éorème de Spinoza. Une ironie dure, la densité du
style
révèlent seules l’écrivain ; et aussi quelques sentences : « C’est de
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ils ont construit des édifices très différents de
style
, et dont les façades s’opposent avec hostilité. Dans l’intérieur des
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soleil. Jouve semble avoir hésité entre plusieurs
styles
de roman. Un chapitre d’observation psychologique ironique et minutie
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. La profusion souvent facile des incidents et le
style
volontairement sec permettent de suivre sans passion ni fatigue le dé
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, nuit à sa valeur littéraire. Je n’aime guère ce
style
abstrait, semé de redites et d’expressions toutes faites qui trahisse
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nces de la technique du roman sont sauvées par un
style
brillant, plein de trouvailles spirituelles, malicieuses ou poétiques
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suffit. Le titre ne ment pas ; ce livre traite du
style
, à coups d’exemples qui méritent de l’être. Et l’on voit bien ici qu’
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fin valent le respect. as. « Aragon : Traité du
style
(NRF) », Bibliothèque universelle et Revue de Genève, Genève, Genève,
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lations, de gros mots et de discours en très beau
style
contre un monde très laid dont ils n’ont pas encore renoncé à chatoui
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. Elle traite de sujets « bien hongrois » dans un
style
académique qui me paraît être le contraire du style hongrois. Il y a
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yle académique qui me paraît être le contraire du
style
hongrois. Il y a aussi une extrême gauche, et sa revue Documentum (un
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es femmes si belles qu’on en ferme les yeux. Quel
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dans la liberté ! Il n’y a plus qu’ici qu’on aime l’ivresse comme un
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s forment, tant par les sujets abordés que par le
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des « approches », le livre le plus significatif de son tempérament c
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plus significatif de son tempérament critique. Le
style
d’abord : on y retrouve, appliqué aux mots, ce même sens à la fois sc
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ns une classe internationale — comme on dirait en
style
sportif — c’est l’aisance avec laquelle il aborde un Pater, un George