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rs. Un régime fort, usant de ses pouvoirs dans un
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adéquat à ses fins, jugerait de tels cas sommairement sans avocats ni
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très réduit et de quelques rythmes lyriques, son
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est large, ses périodes font la roue. Mais il se débrouille mal avec
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ner un sens religieux. Ce livre enfin vaut par un
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inoubliable. Rouveyre ne laisse pas un instant de faire sentir qu’il
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s haut : un linguiste dirait que la formule de ce
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est la contagion. Je mets ce phénomène en relation avec la théorie de
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randes utopies du premier romantisme allemand. Le
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reste baroque (un rococo jésuite qui n’économise pas sur les volutes
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s la tête. Presque toutes les singularités de son
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s’expliquent par cette seule intention, de concentrer notre vision su
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on intellectuelle, atteignant par là une unité de
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tellement têtue qu’elle évoque peu à peu on ne sait quelle puissance
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n bourgeois. On s’est trop arrêté à l’insolite du
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chez Ramuz. Ce qu’il a d’insolite, ce n’est pas tant sa forme que les
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’enfance, fort bien réinventés, et contés dans un
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un peu chantant, voilé, énigmatique par endroits. On croit assister d
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errasse herbue. Une maison de maître d’assez beau
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, ornée d’un perron à double escalier, forme l’extrémité nord d’un bât
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y a pas de route. On imagine de vivre là, dans un
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colonial-moyenâgeux. On pourrait loger bien du monde. Des initiés, na
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r de vivre », en a gardé — tout au moins dans son
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— la sécheresse aiguë, mais non l’exaltation, le cynisme impuissant e