1
ant, mais contribue à créer des obscurités que le
style
très tendu de M. Malraux n’est pas fait pour dissiper. Perken, dans s
2
s rigidités, pensez-vous, certaines austérités de
style
? — On s’y serait attendu. Une visite au salon de la rue de Vaugirard
3
e qui préside à l’élaboration d’une œuvre. Pas de
style
religieux sans doctrine. Et plus la doctrine se relâche et s’estompe,
4
Mais l’a-t-il épuisé ? Il y a depuis Nietzsche un
style
alpestre dans la pensée. Ne pourrait-il pas informer d’autres pensées
6
elui qui veut la perdre… » k. « André Gide ou le
style
exquis », Foi et Vie, Paris, n° 31, octobre 1931, p. 725-729. Une not
7
ntiel soit tout de même attiré et subjugué par le
style
, par le ton de l’ouvrage. (Nous ne savons que trop bien, nous moderne