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étrarquisant, musicien, humain, enfin maître d’un
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incomparable de précision et de verve, Cingria est un phénomène dont
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te vision du monde, ce que donnerait l’usage d’un
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savant et poli, coupé de « véhémences nobles » et de trivialités qual
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ctrines du xvie siècle renouvelle jusque dans le
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la verve créatrice de la Réforme. c. « L’Humanité de Jésus d’après
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us les amateurs de grand lyrisme intellectuel (le
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admirable de ces pages a été rendu aussi bien qu’il était possible pa
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essés. (Qui donc, sauf Léon Bloy, fait écho à ce
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, en notre siècle ?) Mais Casaubon, bien moins vindicatif, n’est pas m
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contre Renaissance. Mais toutes les richesses de
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que produisit ce siècle bouillonnant ont passé dans l’attaque de Calv
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l’adversaire ses meilleures armes. Au sujet de ce
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, dont l’exemple n’est pas l’un des plus négligeables que comportent l
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tre, sobre et grave dans le Traité de la Cène, ce
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garde partout les vertus qui, sans doute, font le plus grand défaut à
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lution voluptueuse du xixe . Il m’apparaît que le
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d’un Calvin peut nous être un puissant roboratif. Et ceci pour deux b
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ssi exceptionnelle par ses dimensions que par son
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. M. Wilfred Monod est actuellement le représentant le plus marquant d
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aissons l’aspect théologique de cet ouvrage : son
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de pensée, sa démarche insolite et dramatique ont bien de quoi reteni
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her — soit tout de même attiré et subjugué par le
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, par le ton de l’ouvrage. Mais on ne saurait réduire le Traité du ser
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hemin entre l’animal et l’Égyptien. (Dans le même
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, Bismarck définit le Bavarois comme « cet être intermédiaire entre l’
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rsifient vraiment, mais les écoles de pensée, les
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de vie. Supprimez les frontières nationales, vous n’appauvrirez en ri