1 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
1 s. Ils ont envie de nous faire bénéficier de leur style de vie, de leur way of life, parce qu’ainsi, croient-ils, tout le mon
2 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
2 pas d’un talent littéraire. On ne lui demande ni style ni vues profondes ou subtiles, seulement un dynamisme inépuisable, et
3 ogiques, nos excuses au lecteur, et notre goût du style cultivé pour lui-même quel que soit le sujet, l’occasion, ou le but p
4 parti ou d’une secte, sacrifient volontiers leur style individuel aux nécessités de l’action. L’Européen, tout au contraire,
5 opéen, tout au contraire, estime que le détail du style , autant que l’ordonnance des idées, transmet une qualité unique qui s
6 ce choix, confiant à la violence involontaire du style une efficacité d’un type nouveau. Et les editors du lendemain disent
7 e. Plus haut, l’église collégiale hollandaise, de style baroque, en marbre blanc ; et vis-à-vis, dans un jardin, une église a
8 tez le message à la portée de la masse et dans le style du jour, mais certains mots ne sauraient y passer, comme péché, grâce
3 1947, Vivre en Amérique. Conseil à un Français pour vivre en Amérique
9 entalisme ne traduisent que ses rêveries, dans un style emprunté aux nègres. Mais sa vie amoureuse et sexuelle me paraît fort
10 mple protestant de Drancy, et de vingt églises en style aérodynamique construites par les Allemands avant Hitler, ou par les
11 sse le raffinement jusqu’à construire le chœur en style roman, et la nef en style ogival ; jusqu’à reproduire les tours non t
12 construire le chœur en style roman, et la nef en style ogival ; jusqu’à reproduire les tours non terminées des cathédrales e
13 ville sont régulièrement — sauf dans le Sud — de style Tudor, de style Renaissance, de style hollandais ou espagnol… Par con
14 lièrement — sauf dans le Sud — de style Tudor, de style Renaissance, de style hollandais ou espagnol… Par contre, les cottage
15 le Sud — de style Tudor, de style Renaissance, de style hollandais ou espagnol… Par contre, les cottages américains ont infin