1 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe de Tristan
1 és de réussite singulière (originalité, habileté, style , etc.). Mais le caractère le plus profond du mythe, c’est le pouvoir
2 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
2 ésolue : c’est bien le Midi roman qui a donné son style et sa doctrine de l’amour aux « romanciers » du cycle de la Table ron
3 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
3 Bonne occasion de définir le dolce stil nuovo, le style savant et caressant que l’école du Nord — novatrice mais qui revient
4 Un idéal à rebours : la gauloiserie Imposer un style à la vie des passions — ce rêve de tout le Moyen Âge païen tourmenté
5 chera point de confesser un goût très vif pour le style de ce roman — seul comparable à l’Astrée sous ce rapport — et une adm
6 oses ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style n’est pas sans relations avec le mythe au dernier stade de sa déchéan
4 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Amour et guerre
7 ie, loi de l’amour et de la guerre « Donner un style à l’amour », telle est, selon J. Huizinga, l’aspiration suprême de la
8 le droit ; elle s’étend à tous les domaines où le style et la forme sont choses essentielles : les cérémonies, l’étiquette, l
9 chevalerie représentait un effort pour donner un style à l’instinct. La guerre classique est un effort pour conserver et rec
10 ssique est un effort pour conserver et recréer ce style malgré l’intervention de facteurs inhumains. D’où le formalisme étonn