1 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
1 font une sorte d’exercice de description, dans le style de l’Idylle antique. Citons Hugo : Un ouvrier d’Égine a sculpté sur
2 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Premiers plans d’union
2 9. Op. cit., I, p. 108 sq. 70. 26 février 1465 ( style nouveau). 71. On connaît la fresque fameuse de Benozzo Gozzoli (Le d
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (I)
3 tage pas les illusions d’un Cloots sur l’unité de style néo-romain qu’il faudrait imposer à toute l’humanité. Sa conception d
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
4 ope. Obscur, contradictoire, intempérant quant au style et arbitraire quant aux jugements, difficile à citer pour tout dire,
5 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
5 comme un désir secret de gagner tout l’univers au style de vie et de pensée d’une « nation mère » ? Parlant des « sauvages »
6 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
6 ue d’un Lamartine ne serait plus qu’une clause de style dès qu’au nom de leurs intérêts les États refuseraient de jouer le be
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’historisme au pessimisme
7 ier écho d’une transformation et d’une brisure du style  ; au lieu que Mozart fut la dernière expression de tout un goût europ
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Europe en question : de Spengler à Ortega — « Tout s’est senti périr »
8 teur soit le premier à les signaler — retenons un style de pensée qui a fait école, et un parti pris pessimiste qui a fourni
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
9 enu que l’argument) ; redécouverte des secrets du style dorique ; recherche passionnée sur l’orphisme et les mystères… Un des
10 par leur énergie pratique, donné à l’esclavage ce style gigantesque qui, pour beaucoup, domine le type de l’économie, de la m
11 t être comprise comme un effort pour atteindre ce style socratique dans le développement de son esprit, malgré tous les obsta
12 ent mouvantes ; parce que même ses révolutions de style les plus étonnantes n’ont jamais cessé d’exprimer les valeurs traditi
13 ment gigantesque où les idées, les habitudes, les styles propres à l’Europe, après des transformations et plus encore des simp
14 lus fort de complémentarité dans la diversité des styles  : L’Européen, et avec lui l’Europe, se constitue, nous l’avons vu, p