1
e livre), à ceux qui ne pensent plus que dans son
style
exagérément exclusif, et parodient sa dialectique du tout ou rien, se
2
il y a de vraiment spécifique dans l’esprit et le
style
de l’Église qu’il visite. Au contraire, le fidèle d’une Église non li
3
osée) favorise, soutient et nourrit des œuvres de
style
classique, tandis qu’une théologie libérale se lie aux mouvements rom
4
onnais un bon nombre d’ouvrages religieux dont le
style
journalistique est incompatible avec aucune espèce de réalité spiritu
5
rit dans la genèse de son œuvre. Il oublie que le
style
d’un écrit transmet pour son compte et par lui-même un « message » so
6
et qu’elle l’exprime par les mouvements mêmes du
style
, plus fidèlement et d’une manière plus contraignante que par son argu
7
es moyens techniques en eux-mêmes, mais plutôt de
style
de l’auteur. Si je n’ai pas mentionné le style comme troisième condit
8
de style de l’auteur. Si je n’ai pas mentionné le
style
comme troisième condition d’une mission d’artiste bien remplie, c’est
9
on d’artiste bien remplie, c’est qu’à mon sens le
style
naît du conflit entre la première condition — le métier, les moyens —
10
’on veut signifier, le message. S’il n’y a pas de
style
, dans un ouvrage, c’est qu’il n’y a pas de drame entre les moyens d’e
11
nct des couleurs, des formes, des proportions, du
style
par lesquels mais aussi dans lesquels il existe. On peut donc les voi
12
qui veut dire à la foi novel et histoire dans le
style
de la Provence, du Midi de la France. C’est à la grande révolution se
13
n inversant certaines normes de jugement, par des
styles
renouvelant les attitudes morales actuelles quant à ce qui est accept
14
es valeurs positives qui constituent le véritable
style
et l’excellence du siècle, et peut-être même son héroïsme. 21. Voi
15
» ? On pourrait m’objecter Claudel, optimiste de
style
baroque et fonctionnaire du premier rang ; mais sa phrase est plus su