1
’an du Seigneur 1291, au commencement d’août. Le
style
est beau, de fière et franche allure, les mots calligraphiés et abrég
2
œurs. Et l’admirable est bien qu’il en soit né un
style
unique d’architecture, commun aux fermes et aux palais, qui n’a rien
3
ficacité, ne feront jamais bon ménage ? Ou que le
style
d’une époque dépend moins qu’on ne le pense des circonstances politiq
4
x donne directement sur un long corridor froid de
style
scolaire. Leur traitement, d’ailleurs soumis à l’impôt, ne permet qu’
5
alé. Le peuple suisse n’a pas créé de très grands
styles
— comme tant d’autres petits États du Moyen Âge ou de la Renaissance
6
s. Il ouvre dans tout le pays des supermarchés de
style
moderne. Il crée une banque, une compagnie d’assurances, une fondatio
7
pas « aventurière ». Rien de moins suisse que le
style
texan. Les antagonismes entre les classes de producteurs ne sont pas
8
sure, un grand théâtre, un sens de la pompe et du
style
, libre de tout souci d’application « morale », leur eussent été forme
9
ise et Bruges, les échanges de compositeurs et de
styles
se multiplient au xve siècle : Guillaume Dufay en est l’illustration
10
des écoles fermées puis internationales ; par des
styles
qui ne connaissaient ni péages ni frontières politiques ; et par des
11
sent le théâtre sacré et populaire, puis le grand
style
baroque, dont l’abbaye bénédictine d’Einsiedeln va devenir à la fois
12
thodique du second. Et quant à l’élégance dans le
style
énergique, ou au contraire à l’énergie dans la libre invention lyriqu
13
épiques et légendaires. Très suisse aussi par ce
style
insistant, par cette manière de cerner les objets d’un trait robuste,
14
e, Le Corbusier l’est resté toute sa vie dans son
style
, ses idées et son comportement. Les bourgeois, en Suisse comme ailleu
15
nance aux ornements, sa volonté fonctionnelle, le
style
Le Corbusier est très conforme à l’idée synthétique que l’on se fait
16
revue dans mon souvenir l’extrême variété de nos
styles
régionaux, ces maisons aux façades entièrement couvertes de fresques,
17
réguliers n’est pas sans me rappeler, de loin, le
style
original des grandes demeures grisonnes, la chesa engiadinana, que l’
18
la chesa engiadinana, que l’on pense dérivée du «
style
du Gothard ». J’ajoute que toute la Suisse est en train de se couvrir
19
ses phrases, et qui explique sans le justifier le
style
de ses journaux et de leurs titres. Franck Jotterand fait parfois dan
20
u’il a aimé —, on dirait qu’il décide de faire un
style
de ce qui n’est qu’embarras de langage pour la plupart de ses compatr
21
ntervention d’un Russe pour qu’enfin se révèle un
style
original qui avait toujours manqué au Pays de Vaud, voilà qui me para
22
e pour la parler en poésie autoritaire, créant un
style
qui se propage du cénacle mallarméen ou géorgien à la petite édition