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stence oisive de consommateurs : elle s’adapta au
style
de vie du milieu non producteur, antérieurement accédé au pouvoir, c’
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ccédé au pouvoir, c’est-à-dire dans ce cas-là, au
style
de vie de la noblesse. Les « grandes familles » bourgeoises, surtout
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et du serviteur — de Man oppose des éthiques, des
styles
de vie, des conceptions d’ordre moral. C’est ici qu’une question plus
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registrer les réussites ou les tricheries !) Leur
style
devient de plus en plus « exquis » et par suite inapte à traduire une
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comme ils récitent correctement ! Mais dans leur
style
, tout est prudence, tout est refus, et mes affirmations ou mes questi
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temps, ne fût-ce dans le meilleur cas, que par le
style
de sa description. Tout portrait porte plus ou moins la ressemblance
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citatives, ne traduit pas une certaine carence de
style
et de pouvoir formateur ? Est-ce que toute leur histoire — je l’ai dé
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a durée, une extension de notre propre absence de
style
à des époques de grand style ? Est-ce que leur psychologie réductive,
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re propre absence de style à des époques de grand
style
? Est-ce que leur psychologie réductive, perfectionnée par Freud, n’e
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anières ou des pensées ou des passions, contre le
style
, contre le rythme singulier qui trahit en chacun de nous la lutte ouv
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’origine de l’entreprise prévale un parti pris de
style
, une ardente finalité. Restaurer la valeur d’application des mots, c’
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i forme le langage en puissance d’acte ; c’est le
style
qui traduit le dynamisme de l’esprit formateur. C’est donc une certai
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. C’est donc une certaine imagination, un certain
style
qui permettront de penser avec les mains. La dialectique du conformis
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t, le moins concret, voilà qui définit le mauvais
style
, en même temps que le style à succès. Le grand public trouve que cela
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ui définit le mauvais style, en même temps que le
style
à succès. Le grand public trouve que cela fait plus poétique. Il croi
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au réel, souvent « laid ». Et c’est ainsi que le
style
d’évasion rejoint les conformismes les plus fades. Mais à ces deux dé
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c exercer son pouvoir qu’à la faveur d’un certain
style
de vie, tendre et tendu. Huitième vertu : le style Un style de
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e de vie, tendre et tendu. Huitième vertu : le
style
Un style de vie ! On voit des condottieri. Il faudrait voir aussi
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ndre et tendu. Huitième vertu : le style Un
style
de vie ! On voit des condottieri. Il faudrait voir aussi des artisans
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touche d’autres hommes, qui ne savaient plus… Un
style
de vie : mais que celui qui le détient en vienne à s’exprimer, il n’e
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en vienne à s’exprimer, il n’est pas sûr que son
style
écrit traduira les catégories dans lesquelles il existe en réalité. O
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re est adapté aux fins qu’ils déclarent, que leur
style
est conditionné par leur action, par la structure même des problèmes
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s ce sens ? Considéré de la sorte, le problème du
style
déborde infiniment le domaine, ici symbolique, de l’expression : il d
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ls croient antagonistes. Ils ne voient pas que le
style
de leur action contredit pratiquement leur but et les conduit sur un
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t tous n’avoir que des buts défensifs. Ainsi le «
style
» militaire contredit les fins humaines alléguées par l’État et entra
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e ne voit-il pas que les méandres surveillés du «
style
exquis » entraînent l’esprit, l’imagination et les sens dans un monde
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rises ni créance ? Cependant, il est clair que le
style
est justement cela qui, dans une œuvre, est contagieux. Si le style e
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t cela qui, dans une œuvre, est contagieux. Si le
style
est de l’homme même, on peut dire plus précisément qu’il est de l’act
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stingue de la masse, mais aussi de l’individu, le
style
d’une pensée active se distinguera par une double opposition : d’une
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rdonner à un but, et d’y soumettre ses moyens. Le
style
qu’il faut à une pensée communautaire ne sera pas forcément « populai
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l’homme, la personne libre mais responsable…) Un
style
soumis à la rudesse nouvelle, non pas aux prudences que l’on sait. Un
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nouvelle, non pas aux prudences que l’on sait. Un
style
né de la seule passion de s’engager. Que chaque phrase indique la vol
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ce but, et le désigne par son allure même. Que le
style
s’ordonne à sa fin, et non plus à de bons modèles. Et qu’il rappelle
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, le premier, substitua délibérément la notion de
style
à celle de correction dans les démarches de l’esprit. Il faudrait en
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maîtresses de notre éthique, l’imagination et le
style
. Enfin, nous avons assumé, et concentré toutes ces tensions dans la
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’écrivain se reconnaissait dès lors non pas à son
style
de pensée, d’écriture ou de vie, mais au seul fait qu’il signait excl