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on de son œuvre elle-même, de sa pensée et de son
style
? C’est par son œuvre et non par quelque « prise de position » occasi
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ses flagrantes injustices 4. Mais l’insolence du
style
reste plus efficace contre le régime que ne le sont en sa faveur tant
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ût pas assumé devant l’Histoire son visage et son
style
, et sa conscience d’elle-même, — généralement mauvaise, comme on sait
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ou encore comme Beckett, Mailer ou Ionesco par le
style
brisé, disloqué, l’imprécation lyrique ou le masochisme transcendanta
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i, Romain Rolland, Sartre ou Marcuse : non par le
style
lui-même, indifférent ou neutre, mais par le contenu d’un discours id
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ualisation, de prise directe sur le réel, que son
style
même, les structures de son discours, et les rythmes de sa démarche i
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our si peu une main vivante. Du seul fait de leur
style
d’écriture et de pensée certains sont comme « interdits d’engagement
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ne voit-il pas que les méandres surveillés de son
style
exquis entraînent l’esprit, l’imagination et les sens dans un monde o
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eure de l’écrivain. Et je tentais de décrire « un
style
né de la seule passion de s’engager ». On me permettra de citer cette
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ce but, et le désigne par son allure même. Que le
style
s’ordonne à sa fin, et non plus à de bons modèles. Et qu’il rappelle
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e pour des motifs circonstanciels indépendants du
style
de sa pensée ou de son art, court le risque de l’hypocrisie, voire du