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Ce serait ici le lieu de rappeler les influences
subies
avant et après sa vingtième année, celles de Paracelse, de Jacob Boeh
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t pas. Nul n’échappe à la forme du monde, mais la
subir
, c’est justement désespérer. Il faudrait donc… la recréer ? L’homme
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’expérience intime de l’auteur à celle qu’il fait
subir
à son héros. Je suis certain qu’en fin de compte, Kafka reste beaucou
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ualités qu’il a héritées et les blessures qu’il a
subies
. Il est emprisonné dans ces données, et c’est en vain qu’il cherchera
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. La vraie Allemagne ne peut pas être celle qui a
subi
la « blessure ». Il faut donc la chercher ailleurs : dans un rêve de