1
ands que ceux qu’elles eussent été contraintes de
subir
en se rendant. (Dans ce « presque » est la différence entre honneur e
2
r prononcé à leur liturgie originale, après avoir
subi
depuis deux siècles un appauvrissement parfois comparable à celui des
3
égère, considérée comme infiniment intéressante à
subir
, et que les Anglo-Saxons appellent « romance », d’un mot qui indique
4
’autre don et possession. L’un est passion (chose
subie
), l’autre est action. L’amour-passion relève d’Éros, et l’amour-actio
5
« pour la vie » et le sens d’un destin assumé (ou
subi
) « advienne que pourra ». La romance, au contraire, pour peu qu’elle
6
rsion, le chrétien n’ait plus qu’à attendre, et à
subir
en gémissant les lois d’un monde qu’il condamne ! Car alors, où serai
7
chrétien » eût triomphé, rien ne l’eût empêché de
subir
le sort fatal des révoltes politiques : il eût revêtu les formes du p
8
isser persécuter ? N’avons-nous rien à faire qu’à
subir
le martyre ? Ou qu’à revêtir vis-à-vis de l’État une attitude d’objec
9
ne dans les usines américaines. Car eux seuls ont
subi
physiquement, et peut-être encore plus moralement, la tyrannie des ry
10
r le mal si longuement déploré par ceux qui ne le
subissaient
pas, peut dès maintenant délivrer l’ouvrier des servitudes mécaniques
11
de la péninsule, le Kerala. Gandhi lui-même avait
subi
, comme on sait, de fortes influences chrétiennes. Au Japon, l’essor d