1 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
1 confiance, la menace et la riposte, l’abîme et le sublime  ? Aucune époque ne fut plus antispirituelle, car aucune ne s’est tant
2 Quand vous mettez sur votre gramophone un disque sublime intimement chéri depuis longtemps — Monteverde, Mozart ou Bach — et q
2 1942, La Part du diable (1944). Le diable dans nos dieux et dans nos maladies
3 ste. Comment éliminer l’apport du diable aux plus sublimes créations de l’esprit ? Je ne pense pas qu’aucun créateur puisse se f
4 héorique — du bien de l’autre et de la foi jurée. Sublime astuce, car cette sincérité garde encore le nom d’une vertu. Mais voi