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ertes dans l’idée sotte ou perverse de réduire le
sublime
au sordide ou seulement à l’insignifiant, mais parce que je crois au
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nom ait donné lieu d’une part à la désignation «
sublime
» de la Suisse : c’est la « libre Helvétie » des romantiques et de no
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que, exultante et savante, vocalise du trivial au
sublime
avec une liberté sans égale dans nos lettres. 102. Tout cela raconté