1 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
1 aints esprits modernes ne manqueront pas de juger sublime  ! 34. Le Werther de Goethe succombe parce qu’il s’est livré à son ve
2 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
2 rticale, signe de notre verticalité infinie ou du sublime de notre spiritualité ». 10 octobre 1934 (Suite et fin.) — Deux
3 re l’État. Le sens de la révolte se perd. Il se «  sublime  », ô ironie, en rouspétance, en criailleries électorales, journalisti
3 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
4 les prophètes. Isaïe réveillait son peuple par le sublime oracle de Séir : « Sentinelle, que dis-tu de la nuit ? — Le matin vie
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
5 ur protéger nos « lacs d’azur » et nos « glaciers sublimes  ». (Certain ministre de la propagande se chargerait très volontiers d
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
6 semble. Pour un homme qui est seul, Manhattan est sublime . Il n’y a qu’à s’oublier dans l’énergie fusante de cette capitale du