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tion, et jusque dans sa fuite désespérée, dans la
sublime
coquetterie de sa fuite ! Et qu’il l’ignore, c’est essentiel à la gra
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superstition du temps, la manie de « ramener » le
sublime
à l’infime, l’étrange erreur qui prend pour cause suffisante une cond
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ondamner sa vie « finie ». Le dieu Éros exalte et
sublime
nos désirs, les rassemblant dans un Désir unique, qui aboutit à les n
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Wagner, au deuxième acte de Tristan, fera le cri
sublime
de Brengaine : « Habet acht ! Habet acht ! Schon weicht dem Tag die N
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eligieuse, l’idée transcendantale, l’élan vers le
sublime
, ne peuvent être toujours présents. Viennent-ils à manquer, tout ce q
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ez un mystique de l’envergure d’un Henri Suso, le
sublime
nous semble parfois frôler le ridicule. Il est sublime quand, par pié
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me nous semble parfois frôler le ridicule. Il est
sublime
quand, par piété envers la Vierge, il rend hommage à toutes les femme
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e dans la boue pour laisser passer une pauvresse.
Sublime
encore, quand il suit les usages de l’amour profane et célèbre le jou
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’il se modèle spontanément à la ressemblance du «
sublime
» qu’elles ont su rendre inoubliable. C’est pourquoi l’on n’aura pas
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écrit au seuil de la Vita Nuova, cette strophe au
sublime
départ : Un ange crie en l’Intelligence divine et dit : — Seigneur,
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ouvelle, et pour qu’à la passion ne manque pas le
sublime
, voici la divinisation. Pétrarque demande comment il se peut faire qu
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us heureuse. C’est encore une aspiration à la vie
sublime
, tout comme l’autre, mais cette fois du côté animal. C’est un idéal q
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e la vie sociale. 17.Stendhal, ou le fiasco du
sublime
Homme du xviiie siècle, ayant subi la « touche » du romantisme, e
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t dans son « âme », c’est-à-dire dans son goût du
sublime
, ce vide dont parlait Fichte, cet appel insatiable à l’inconnu, à l’I
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chante Brangaine sur la tour de l’aube, au point
sublime
du IIe Acte, et je ne l’entendrai plus jamais sans pleurer — je me fe