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À chaque degré, de la bagarre de clans jusqu’aux
sublimes
et absurdes politesses de Fontenoy, gagne la civilisation. Mais tout
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aires, font de la mort une plaisanterie d’un goût
sublime
qui perd son sel à être répétée, étouffent d’une seule pensée les exp
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nce dans notre cœur. Écoutons maintenant le cri
sublime
: De Séir, une voix crie au prophète : — Sentinelle, que dis-tu de l