1 in, tandis que l’hérésie avait son centre plus au sud , dans le comté de Toulouse. C’est oublier que l’hérésie est descendue

2 st oublier que l’hérésie est descendue du nord au sud , par Reims, Orléans, puis Limoges et le Poitou, précisément ! On a di

3 ens. Dans quelle mesure cette poésie courtoise du Sud s’inspira-t-elle des troubadours ? La question est encore obscure. On

4 ge investit profondément le groupe des Cahiers du Sud . Sans doute l’avais-je consulté, pendant que j’écrivais mon livre. Da

5 soumises par les Saxons au nord, les Wisigoths au sud , bien avant d’être « mises en annexe » par les Français, il y a sans

6 mousin, la poésie nouvelle va se répandre vers le sud toulousain et le sud-est provençal, avec lesquels on confond de nos j

7 raîtra dans le numéro de juin 1939 des Cahiers du Sud . « Ce n’est pas d’étayer sa conjecture que D. de R. a souci mais de l

8 Bombay, 1939. 226. « Le Génie d’Oc », Cahiers du Sud , Marseille, 1943, article de René Nelli sur « L’Amour Provençal », p.

9 vante et créante, de contacts entre le Nord et le Sud qui ne doivent rien à Wagner ? 228. Je donne de ces quatre vers la t

10 1969. 234. Nombreux articles dans les Cahiers du Sud  ; un bel essai sur la cortezia : L’Amour et les Mythes du Cœur, 1952