1 rions bien, mais l’opinion n’est pas prête à nous suivre . Et les peuples disaient : — L’union ? Bien sûr ! Mais les gouverneme

2 C’est ainsi que s’institua, au cours des mois qui suivirent les Rencontres, un débat général sur l’Europe et sa situation, jugée

3 tion en une affirmation. D’où le bref article qui suit . Choisir l’Europe Les uns nous disent que le choix est fatal en

4 ns lequel ils se rassemblaient. La conférence qui suit fut prononcée en guise d’introduction aux travaux du Congrès. On y a

5 sse moderne serait une sorte de « bon exemple » à suivre . Rien de plus banal que cette référence à la Suisse, dès qu’il est qu

6 dans ce congrès et dans tous ceux qui doivent le suivre , si nous ne restons pas en garde vigilante contre les réflexes totali

7 par l’esprit, en abstractions et en spéculations, suivies de créations aventureuses, les réalités terre à terre et si médiocres

8 de La Haye. Et certains socialistes continentaux, suivis de certains hommes en dehors des partis, ont déclaré que l’absence de

9 en démocratie, c’est cela qui compte, et le reste suivra . 2. Le Congrès de l’Europe a permis de mettre en pleine lumière les v

10 cela, que nous croyons juste, nous ne serons pas suivis at home, on ne voit pas les choses de cette manière chez nous…) Les g

11 s l’inconnu, dans l’aventure… Les peuples ne nous suivront pas… Les gouvernements nous rassurent, et ce projet va les choquer… E

12 nd avenir, pour cette génération et celles qui la suivront . Quelques chiffres Je disais plus haut que l’Europe d’aujourd’h