1 « vrai Dieu et vrai homme » selon le Credo. D’où suit immédiatement que tout homme converti, recréé par l’Amour divin, va d

2 n divine…6 En revanche, les Églises chrétiennes, suivies jusqu’à nos jours par les pouvoirs civils, ont développé dès la premi

3 s ces pages liminaires et dans les essais qui les suivent , je n’utilise jamais les termes de morale bourgeoise et de puritanism

4 et en est aimé. Mais, comme Lara, la Russie a dû suivre un Maître cynique et brutal, qui l’a séduite et humiliée. Il m’interd

5 on, ne songeant pas même à la chercher ; quand je suivais les impulsions de ma nature, ce qui avait ainsi pour moi une valeur s

6 radoxe essentiel de toute vocation : il s’agit de suivre un chemin que l’on a l’impression d’inventer, un chemin qui demeure i

7 rythme errant, ou s’il le crée tout en croyant le suivre . S’avancer ainsi dans la vie, c’est pratiquement vivre dans l’improba

8 à la notion courante. Car, selon cette dernière, suivre sa vocation, c’est aller dans le sens où la nature nous pousse, dans

9 identale. Arrêtons-nous ici pour méditer. Et nous suivrons tantôt cette allée de lumière frayée dans les hautes futaies par les

10 libre… En outre, l’une de ces choses ne doit pas suivre l’autre, la décision ne doit pas arriver par-derrière à pas de loup :

11 e loup : le tout doit avoir lieu simultanément. » Suivent cent pages au cours desquelles le Mari réitère à coup d’arguments phi

12 onception kierkegaardienne ? Le développement qui suit rétablit l’exigence existentielle. Le sujet du « Tu dois aimer » ne s

13 symbolisent les mythes de Don Juan et de Tristan. Suivons maintenant les phases de leur grande polémique dans l’œuvre et dans l

14 aisir était sans arrière-pensée et ne devait être suivi d’aucun remords.69 » C’est de cette « joie immense » que Gide voulait

15 Beaucoup d’arrière-pensées, qu’il ne voulait plus suivre , et c’étaient elles pourtant qui le faisaient encore si attachant, et

16 immortel, le Livre de Job. Il serait curieux d’en suivre la filiation, jusqu’au Soulier de satin, de Claudel : ce serait une s

17 é fervente à la grandeur. Relisons les essais qui suivent  : nous y voyons que, pour Kassner, Rilke appartient décidément au mon

18 mais à partir de la Personne, par désespoir »87. Suit une digression sur la Duse, et subitement, Kassner en vient à l’aspec

19 isme. Il a toujours aimé le Bouddha, dit-il. Il a suivi ses traces en Inde, sans bien connaître sa doctrine. Beaucoup plus ta

20 d de Saint-Victor, puis dans le thomisme, on peut suivre l’évolution du concept et du terme de personne, forgé par la doctrine

21 tuée se produit à l’aube de la troisième nuit qui suit la mort terrestre : c’est la rencontre de l’âme avec son moi céleste

22 ur leurs grands chevaux théologiques, mais chacun suit sa voie, son « svadharma », sa religion particulière. C’est pourquoi

23 « Son bonjour : « Que le salut soit sur quiconque suit la vraie religion ». (La vraie ! Aux autres, pas de bonjour.) » 119.

24 jestueuses ; bien plus, qu’au détour d’un sentier suivi dans la forêt d’avril nous attende une révélation du bonheur pur ; qu

25 ns le monde, mit le comble à son amour pour eux. ( Suit le récit du lavement des pieds des disciples.) (Jean, XIII, 1). Enfi