1
a pensée protestante ». M. Guisan avait choisi un
sujet
qui permet de façon particulièrement frappante la comparaison des poi
2
Un plein succès a répondu à cette innovation. Le
sujet
de la première partie des conférences, les Objections des intellectue
3
ligne plus ferme, d’une unité plus pure aussi. Le
sujet
était périlleux : si particulier, il prêtait à des abus de pittoresqu
4
on de l’édit de Nantes » (16 février 1927)i Le
sujet
que M. Esmonin, professeur à la Faculté des lettres de Grenoble, trai
5
Voyez son portrait de Meili : il ne prend pas le
sujet
par l’intérieur, mais il taille ce visage dans une pâte riche et un p
6
sa femme (elle peint aussi, d’un œil regardant le
sujet
, de l’autre ce qu’en fait son mari). Et puis voici François Barraud,
7
eureux équilibre entre le réalisme imposé par les
sujets
et un style qui sait rester ample, d’une simplicité non dépourvue de
9
velle Revue française , et qui ont, sur un tas de
sujets
pas importants, des idées « pertinentes », comme dit M. Charly Clerc
10
oir que le maniérisme, non la substance. p. « Au
sujet
“d’un certain esprit français” », Aujourd’hui, Lausanne, n° 22, 1er m