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n’a pas son origine dans les choses, mais dans le
sujet
connaissant », nous retrouvons cette définition du temps comme refus
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ue le temps de Schopenhauer est « l’idéalité » du
sujet
connaissant, — une chimère spiritualiste, une nostalgie. C’est pourqu
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u bourgeois, mais décisive. À une enquête dont le
sujet
était : La rencontre la plus importante de votre vie ? M. Clément Vau
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s », de l’impersonnel.) L’acte, étant immédiat au
sujet
, ne peut pas, sans cesser d’être acte, être posé en face de l’acteur.
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trop compromettant. Mais pour une causerie sur un
sujet
neutre, nous en avons toujours dans les 40 à 50. Et une fois qu’ils s
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lu quelques passages de l’Écriture. Après quoi le
sujet
a été introduit par l’un des instituteurs. Il s’agissait de « l’histo
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lorsqu’on s’est mis à parler d’autre chose que du
sujet
, c’est-à-dire d’un peu tout : de l’enseignement, des journaux, des tr
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l’homme de gauche à poigne ? J’ai questionné à ce
sujet
quelqu’un qui connaît bien son monde. La vie même de cet homme consis
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17 février 1935 Cercle d’hommes. — Hier soir le
sujet
de l’entretien était le problème de l’autorité. La discussion dévia b
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onale », qui chaque jour m’apporte d’inénarrables
sujets
de méditation, le petit communiqué que voici : Bouillargues. — Les «
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oir tant d’auteurs s’exercer l’imagination sur un
sujet
qui défie l’expérience, l’on s’étonne qu’aucun d’entre eux n’ait song
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comme tel ait des lumières particulières sur ces
sujets
, qui exigent un savoir technique. Mais ce qui tombe directement sous
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le seul détail précis que rapporte la Bible à son
sujet
, c’est cette difficulté à s’exprimer. Non seulement rien d’historique
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— il me paraît que l’opinion de Luther n’est pas
sujette
à de sérieuses objections. Et la démonstration purement biblique qu’o