1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Lucien Fabre, Le Tarramagnou (septembre 1925)
1 un portrait balzacien du brasseur d’affaires. Le sujet du Tarramagnou, c’est « la nouvelle mise en servitude du peuple rusti
2 it là les éléments d’un grand roman : autour d’un sujet de vaste envergure, et brûlant, une intrigue puissante, des personnag
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hugh Walpole, La Cité secrète (décembre 1925)
3 au moment où l’on est sûr que ça brûle bien. Quel sujet plus riche pouvait-on rêver pour un psychologue de la puissance de Wa
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alix de Watteville, La Folie de l’espace (avril 1926)
4 ames à principes. Voilà, n’est-ce pas, un amusant sujet de conte moral, avec ses personnages un peu conventionnels et l’invra
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
5 j’admire dans ces Bestiaires, presque malgré leur sujet trop pittoresque. « Honneur et longue fidélité aux taureaux braves et
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jacques Spitz, La Croisière indécise (décembre 1926)
6 tradictoires d’un individu. C’est pour traiter ce sujet pirandellien qu’on s’embarque dans une croisière de vacances, qui fin
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Alfred Colling, L’Iroquois (décembre 1926)
7 que l’auteur ne se soit pas mieux abandonné à son sujet , d’un pathétique assez neuf. z. « Alfred Colling : L’Iroquois (Émil
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Barbey, La Maladère (février 1927)
8 La Maladère (février 1927)ac « Quel admirable sujet de roman, écrit Gide, au bout de quinze ans, de vingt ans de vie conj
9 aptif de sa propre jeunesse. » C’est ici un autre sujet du roman, qui se mêle étroitement au premier… Mais combien cette anal
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Ô toi que j’eusse aimée… (mars 1927)
10 prestigieuse et désolée… M. Jaloux a trouvé là un sujet qui convient admirablement à son art, où s’unissent aujourd’hui un ré
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). René Crevel, La Mort difficile (mai 1927)
11 son tour que le masque d’un goût du malheur ? Le sujet profond de ce roman, où l’on voit comment Pierre en vient à sacrifier
10 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Edmond Jaloux, Rainer Maria Rilke (décembre 1927)
12 tégie littéraire », de gazetiers ; au cœur de ces sujets qui paraît-il, ne sont pas d’actualité : la solitude, la maladie, la
11 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
13 t s’il a eu peur c’est qu’il n’a pas su aimer. Le sujet de Liszt et de Chopin, c’était l’amour, donc la douleur ; ici, c’est
12 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
14 rt difficile de René Crevel ne s’étonneront ni du sujet ni de la manière de M. Jullien du Breuil. L’intérêt de ce genre de li
15 jeunesse d’après-guerre et des parents. Encore un sujet qui attend son maître. bf. « A. Jullien du Breuil : Kate, roman (Kr
13 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Pierre-Quint, Le Comte de Lautréamont et Dieu (septembre 1930)
16 netteté et souvent, d’indépendance. Il dégage le sujet de l’épopée qu’est Maldoror — la révolte de l’homme contre son Créate
17 se. On sent bien ici que le critique a dominé son sujet . Mais pourquoi se refuse-t-il à tirer de ces remarques fort justes le
14 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
18 ralyse la mâchoire. 6. Doutes sur la nature du Sujet Je crois qu’il faut que je raconte mon voyage « à la suite », reno
19 ession que je suis zur Sache, que je parle de mon sujet , — étant admis que mon sujet soit la Hongrie, ce qui me paraît infini
20 que je parle de mon sujet, — étant admis que mon sujet soit la Hongrie, ce qui me paraît infiniment baroque, à peine compréh
21 à peine compréhensible, car on ne choisit pas un sujet  : on est sujet. Et tout ceci n’est rien que le voyage du Sujet à la r
22 hensible, car on ne choisit pas un sujet : on est sujet . Et tout ceci n’est rien que le voyage du Sujet à la recherche de son
23 t sujet. Et tout ceci n’est rien que le voyage du Sujet à la recherche de son Objet, — en passant par la Hongrie. — Mais puis
24 remplir les revues bien pensantes. Elle traite de sujets « bien hongrois » dans un style académique qui me paraît être le cont
15 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Hölderlin, La Mort d’Empédocle et Poèmes de la folie (octobre 1930)
25 sa folie, qu’il pressent. Et M. Babelon cite à ce sujet des phrases très frappantes : « L’un garde encore la connaissance au
16 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
26 i jamais cherché rien d’autre que d’approcher mon sujet , en m’identifiant d’aussi près qu’il m’était possible, non seulement
27 ses Approximations ; elles forment, tant par les sujets abordés que par le style des « approches », le livre le plus signific
28 on marché qu’on nous prodigue dans la presse. Les sujets  : Walter Pater, Tolstoï, Hardy, Stefan George, Hofmannsthal. Que Char
29 ndre la tâche facile. Cernant de toutes parts son sujet , M. Du Bos choisit des bases d’approche parfois si éloignées, et prog